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    مُساهمة من طرف omar radif الجمعة 12 مارس 2010, 15:06

    Le fantastique est un genre littéraire que l'on peut décrire comme
    l’intrusion du surnaturel dans le cadre réaliste d’un récit, autrement dit
    l’apparition de faits inexpliqués et théoriquement inexplicables dans un
    contexte connu du lecteur, ressemblant au merveilleux mais différent tout de
    même.
    Selon le théoricien de la littérature Tzvetan Todorov, le fantastique ne serait
    présent que dans l’hésitation entre l'acceptation du surnaturel en tant que tel
    et une tentative d’explication rationnelle. En cela, le fantastique est situé
    entre le merveilleux (et son
    incarnation contemporaine, la fantasy), dans lequel le surnaturel est accepté et
    justifié car le cadre est imaginaire et irréaliste, et l’étrange, dans lequel il
    est expliqué et accepté comme normal. Contrairement à ces deux genres, le héros,
    comme le lecteur, a presque systématiquement une réaction de refus, de rejet ou
    de peur face aux événements surnaturels qui surviennent.
    Cette définition plaçant le fantastique à la frontière de l'étrange et du
    merveilleux est généralement acceptée, mais a fait l'objet de nombreuses
    controverses, telle que celle menée par Stanislas Lem.
    Le fantastique est très souvent lié à une atmosphère particulière, une sorte
    de crispation due à la rencontre de l’impossible. La peur est souvent présente,
    que ce soit chez le héros ou dans une volonté de l’auteur de provoquer
    l’angoisse chez le lecteur ; néanmoins ce n’est pas une condition sine qua non du
    fantastique.
    Par extension, le fantastique définit également un genre cinématographique dont la signification est
    sensiblement la même (Cf. article cinéma fantastique).


    Genres
    apparentés et sous-genres [modifier]



    On considère souvent le fantastique comme très proche de la science-fiction.
    Néanmoins, d'importantes différences les distinguent : la science-fiction ne
    relève pas du surnaturel, et se veut rationnelle. Ainsi, La Machine à explorer le
    temps
    , de H. G.
    Wells
    , est un roman de science-fiction, car le héros voyage dans le temps
    grâce à une machine conçue à cet effet, autrement dit grâce à un procédé
    technologique, certes inconnu dans l'état actuel des connaissances humaines,
    mais qui, étant présenté comme technologique, ne peut être qualifié de
    surnaturel.
    En français, une erreur
    fréquente consiste à appeler « fantastiques » tous les textes appartenant au
    genre anglo-saxon de la fantasy, comme ceux de J. R. R. Tolkien, alors qu’ils appartiennent
    en réalité au domaine du merveilleux. Cette erreur est due à l’absence de terme
    approprié permettant de nommer la fantasy en français.
    Le fantastique est également apparenté au réalisme magique, genre propre à la
    littérature latino-américaine et fondé sur l'insertion d'éléments surnaturels
    dans un récit réaliste. Mais les faits surnaturels y sont considérés comme
    normaux, ce qui fait du réalisme magique une branche du merveilleux et non du
    fantastique.
    Panorama de la littérature
    fantastique [modifier]



    Les origines du
    genre [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-Caspar_David_Friedrich_002 la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Caspar David
    Friedrich




    Le roman gothique [modifier]

    Article détaillé : Roman gothique.

    La véritable source du genre fantastique est le roman gothique anglais de la fin du XVIIIe siècle. Outre l'apparition des thèmes propres au
    fantastique (les fantômes, le Diable, les vampires) ces romans caractérisés par
    une atmosphère d'horreur plus prononcée introduisent l'ambiguïté caractéristique
    du genre. Parmi les œuvres les plus représentatives, citons Le Moine de Matthew Gregory
    Lewis
    (1796), Les mystères d'Udolphe d'Ann Radcliffe (1794) et Melmoth, l'homme
    errant
    de Charles Robert Maturin (1820).
    Le romantisme
    frénétique [modifier]


    Article détaillé : Romantisme frénétique.
    la nouvelle fantastique 180px-Petrus_Borel la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Pétrus
    Borel




    La découverte des gothiques anglais donne lieu en France à une profusion
    d'oeuvres dites « frénétiques » (On parle aussi de « roman noir »). Encore très
    marquées par le merveilleux, ces œuvres introduisent dans le roman français le
    goût pour l'horreur et le macabre.
    William Beckford était anglais, et
    pourtant c'est le français qu'il a choisi pour écrire Vathek (1786), l'un des principaux romans de
    tendance frénétique. Il situe l'action en Orient, et donne au roman l'aspect
    d'un conte oriental qui rappelle Les Mille et Une Nuits. L'histoire
    est celle de la descente aux enfers d'un calife ayant cherché à obtenir des
    pouvoirs surnaturels en concluant un pacte avec le Diable.
    L'autre grand roman frénétique est Le Manuscrit trouvé à
    Saragosse
    du polonais Jean Potocki, écrit lui aussi en français. Se
    présentant sous la forme d'un assemblage de récits indépendants avec quelques
    personnages récurrents, il propose une grande diversité de types de récits : le
    roman noir, le roman picaresque, le conte, le récits philosophique, etc.
    Cependant, le surnaturel est omniprésent dans le roman.
    Après ces deux œuvres imposantes, le roman frénétique atteint son apogée avec
    les « petits romantiques ». Pétrus Borel, dans Champavert, contes
    immoraux
    (1833) et surtout dans Madame de Putiphar (1839), est encore
    plus provoquant que les anglo-saxons, en particulier dans sa complaisance pour
    l'horrible. La cruauté des récits de Champavert annonce Auguste de Villiers de
    L'Isle-Adam
    . De plus, Borel a écrit un véritable récit fantastique,
    Gottfried Wolfgang (1843).
    Parmi les œuvres marquantes du gothique français, il faut aussi évoquer des
    romans qui, ayant été écrits dans le but de parodier les récits de Lewis et
    Radcliffe, sont devenus d'authentiques romans noirs. Dans ce registre, le
    critique littéraire Jules
    Janin
    a notamment écrit L'âne mort et la femme guillotinée (1829). De
    même, Les mémoires du Diable de Frédéric Soulié utilise tous les
    ressorts du roman gothique, et ne cache pas sa dette envers le Marquis de Sade.
    Le
    Diable amoureux
    de Jacques Cazotte [modifier]



    L'autre précurseur de la littérature fantastique est le français Jacques Cazotte dont le
    court roman, Le
    Diable amoureux
    (1772), est considéré comme le premier récit fantastique
    de langue française. Il relate l'histoire d'un jeune homme, Alvare, qui tente de
    convoquer le Diable. Celui-ci lui apparaît sous les traits de la charmante
    Biondetta. Teinté d'influences ésotériques, ce roman aura une influence directe
    sur Charles Nodier et
    ses successeurs français.
    La naissance du
    véritable fantastique : E.T.A. Hoffmann [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-ETA_Hoffmann_2 la nouvelle fantastique Magnify-clip

    E.T.A.
    Hoffmann




    C'est en Allemagne au début du XIXe que naît
    la littérature fantastique proprement dite, avec Adelbert von
    Chamisso
    (Peter Schlemilh) puis Achim von Arnim et E.T.A. Hoffmann (Fantaisies à
    la manière de Callot
    , Contes nocturnes).
    Le fantastique de Hoffmann se caractérise par l'exaltation, le chaos, et la
    frénésie. Le roman Les
    Elixirs du diable
    , qui revendique la filiation du Moine de Lewis,
    accumule de façon souvent incohérente les épisodes de natures très différentes :
    histoire d'amour, méditations esthétiques ou politiques, aventures picaresques,
    épopée familiale, extases mystiques, etc. Le thème de la folie et de la solitude
    est central dans l'œuvre de Hoffmann comme dans celle de Chamisso.
    Hoffmann a eu une influence universelle et pratiquement continue sur le
    genre. Ses contes forment un véritable répertoire du fantastique, décliné par la
    suite par d'autres auteurs et dans d'autres arts (opéra, ballet, cinéma).
    Le
    fantastique de langue française [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-Auguste_de_Chatillon_-_Portrait_de_Th%C3%A9ophile_Gautier la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Théophile
    Gautier




    Naissance et essor du fantastique
    en France [modifier]



    Dès les années 1830 les contes
    d'Hoffmann
    sont traduits en français par Loève-Veimars et
    rencontrent un succès spectaculaire. Après Le Diable amoureux de Jacques Cazotte, Nodier est l'un des
    premiers écrivains français à écrire des contes fantastiques. Pourtant, il ne
    voit dans ce genre qu'une manière nouvelle d'écrire des récits merveilleux[1] ; le
    fantastique lui est prétexte au rêve et à la fantaisie. Il écrit d'ailleurs une
    étude sur le fantastique[2], qui montre que pour Nodier la frontière
    entre merveilleux et fantastique est assez floue. Peuplés de fantômes, de
    vampires et de morts-vivants, ses textes possèdent cependant ce qui caractérise
    le fantastique : l'ambiguïté, l'incertitude, l'inquiétude. Ses contes les plus
    connus sont La Fée aux miettes (1832),
    Smarra ou les démons de la nuit (1821) et Trilby ou le lutin
    d'argail
    (1822).
    Puis plusieurs des plus grands de la littérature française s'essayent au
    genre.
    Honoré de
    Balzac
    , auteur d'une dizaine de contes et de trois romans fantastiques, a
    été lui aussi influencé par Hoffmann[3]. Outre L'Élixir de longue vie (1830)
    et Melmoth réconcilié (1835), sa
    principale œuvre fantastique est le roman La Peau de chagrin (1831), dont le
    personnage principal a conclu un pacte avec le Diable : il achète une peau
    de chagrin qui a le pouvoir d'exaucer tous ses souhaits mais qui, symbolisant sa
    vie, se réduit à chaque fois qu'il y a recours. Malgré la composante
    fantastique, ce roman est inscrit dans le réalisme : Balzac utilise à la
    description pour peindre les lieux de Paris ; il fait intervenir la psychologie
    et la situation sociale de ses personnages. Mais dans l'ensemble, l'œuvre
    fantastique de Balzac n'est pas conçue comme une finalité. Tout du moins, Balzac
    ne cherche pas à effrayer ou à surprendre le lecteur, et ne fait pas intervenir
    de quelconques vampires ou loups-garous. Il s'agit plutôt d'une œuvre de
    réflexion, inscrite dans le cadre de la Comédie humaine. A travers la
    puissance allégorique des personnages et des situations, Balzac écrit avant tout
    des contes
    philosophiques
    .la nouvelle fantastique 180px-GDMaupassant la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Guy de
    Maupassant




    Grand admirateur de Hoffmann, Théophile
    Gautier
    est un auteur incontournable de la littérature fantastique. Habités
    par la fantaisie et le désir d'évasion, ses contes sont parmi les plus aboutis
    sur le plan de la technique du récit. Gautier brille à tenir le lecteur dans le
    doute tout au long de ses histoires, et à le surprendre au moment de la chute.
    Il est l'auteur de quelques chefs-d'œuvre que l'on retrouve régulièrement dans
    les anthologies dédiées au fantastique, tels La
    cafetière
    (1831) et La Morte amoureuse (1836).
    Prosper
    Mérimée
    n'a écrit qu'un nombre très restreint d'œuvres fantastiques
    (quelques nouvelles tout au plus), mais celles-ci sont d'une grande qualité.
    La Vénus
    d'Ille
    (1837), en particulier, est l'une des plus célèbres nouvelles du
    genre. Mérimée a également traduit La Dame de pique de Pouchkine, et
    qu'il a publié une étude sur Nicolas Gogol, le maître du fantastique
    russe.
    Après avoir écrit des textes fantastiques sous l'influence du romantisme
    allemand de Goethe et d'Hoffmann[4], Gérard de Nerval
    a écrit un ouvrage majeur, Aurélia (1855), dans un style plus poétique et
    personnel. Il a également rédigé un autre texte dans un style similaire, La
    Pandora
    (1854).
    Guy de
    Maupassant
    est à l'évidence l'un des plus grands auteurs de littérature
    fantastique. Son œuvre est marquée par le réalisme, genre dans lequel il a bâti
    sa renommée ; elle est fortement ancrée dans le quotidien[5]. Ses thèmes récurrents sont la peur,
    l'angoisse et surtout la folie, dans laquelle il va d'ailleurs sombrer peu avant
    sa mort. On les retrouve dans son chef-d'œuvre, Le Horla (1887). Sous forme de journal intime, le
    narrateur relate ses angoisses dues à la présence d'un être invisible.
    L'hésitation repose sur la folie possible du narrateur.
    Symbolisme et fantastique fin
    de siècle
    [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-Auguste_de_Villers_de_L%27Isle-Adam la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Villiers de
    L'Isle-Adam




    La fin du XIXe siècle
    voit l'essor de la littérature dite « décadente », dont les thèmes de prédilection
    sont la cruauté, le vice et la perversité. Dans le sillage d'oeuvres telles que
    À rebours de Joris-Karl
    Huysmans
    ou Les Diaboliques de Jules
    Barbey d'Aurevilly
    , le fantastique n'est plus une finalité, mais un moyen
    permettant de faire passer une provocation, une dénonciation ou une volonté
    esthétique. Il n'y a donc plus durant cette période d'« écrivains
    fantastiques », mais de nombreux auteurs qui ont écrit quelques textes
    fantastiques. Le conte se fait plus maniéré, les descriptions se font riches,
    l'exotisme et l'érotisme
    deviennent des éléments importants. Enfin, le conte fantastique est une occasion
    de faire de la critique sociale, souvent dirigée contre le matérialisme
    bourgeois, par exemple dans les Contes cruels de Villiers de L'Isle-Adam.
    Par ailleurs, les symbolistes décadents ont largement recours au
    fantastique dans leurs contes ; celui-ci n'est alors pas très éloigné de la
    fable et de l'allégorie[6].
    Léon Bloy a écrit deux
    recueils de contes, Sueurs de sang (1893) et Histoires
    désobligeantes
    (1894). Ses récits, même s'ils ne sont pas tous fantastiques,
    relèvent de l'étrange ou du surnaturel. Rédigeant dans un style incendiaire,
    Bloy a la volonté de choquer ses lecteurs par la cruauté de ses histoires. Un
    autre écrivain qui a fait de tout ce qui est cruel, malsain ou sordide sa source
    d'inspiration favorite est Jean Lorrain, auteur notamment de Monsieur de
    Phocas
    , l'une des œuvres phares de la littérature fin de siècle.
    Ses nombreux contes fantastiques sont répartis dans plusieurs recueils, dont le
    meilleur est certainement Histoires de masques (1900).
    Le symboliste
    Marcel Schwob est resté
    insensible à l'atmosphère délétère des œuvres décadentes. Utilisant le
    merveilleux et l'allégorie pour faire du fantastique, il est l'auteur de deux
    recueils de contes, Cœur Double (1891) et Le Roi
    au masque d’or
    (1892). Il convient aussi de retenir le recueil
    Histoires magiques (1894) d'un autre symboliste, Rémy de
    Gourmont
    , dans lequel l'influence de Villiers de L'Isle-Adam
    est indéniable, et qui est le seul de son auteur à contenir des contes
    fantastiques.
    Henri de
    Régnier
    a écrit en 1919 un recueil de trois nouvelles fantastiques
    d'importance, Histoires incertaines[7], dont l'esthétique est directement
    influencée par la littérature fin de siècle.
    Le fantastique belge
    [modifier]



    Le développement d'une littérature fantastique particulière en Belgique au
    XXs est une chose curieuse, mais indiscutable. Il est d'autant plus important de
    l'évoquer, que le fantastique joue un rôle central dans la littérature belge en
    général. Le fantastique belge naît du symbolisme et du réalisme à la fin du XIXe[8]. Le symbolisme crée une atmosphère propice
    à l'intrusion du surnaturel, que ce soit par l'allégorie, la féérie, ou son
    caractère allusif. L'œuvre majeure de ce courant est Bruges-la-Morte de Georges Rodenbach
    (1892). A côté du symbolisme se développe un courant réaliste et rustique, dont
    le principal représentant est Georges Eekhoud. Marquée par un réalisme de
    l'outrance et de l'hyperbole[9], son œuvre laisse apparaître un recueil
    majeur, Cycles patibulaires (1892)
    Deux écrivains ont contribué à apporter au fantastique belge sa maturité : Franz Hellens et Jean Ray. Le premier, alternant entre
    symbolisme et réalisme, s'est illustré dans un genre que l'on qualifie parfois
    de « réalisme
    magique
    ». Ses ouvrages principaux sont Nocturnal (1919) et Les
    réalités fantastiques
    (1923). Le second est certainement le plus connu de
    tous. Jean Ray est un réel
    novateur de la littérature du surnaturel au XXe. Il a la particularité d'avoir considéré le genre
    fantastique comme une totalité, et s'y est consacré de manière exclusive. Il est
    l'auteur d'un fantastique débridé dont la plus grande réussite est Malpertuis (1943).
    Enfin, Michel de Ghelderode, en marge de son
    imposante œuvre théâtrale, a également écrit Sortilèges (1945), un
    recueil de nouvelles fantastiques tenu pour une référence du genre.
    L'Angleterre
    victorienne [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-Oscar_Wilde_portrait la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Oscar
    Wilde




    L'Angleterre victorienne n'a suscité que peu d'auteurs fantastiques à
    proprement parler, les subtiles ambiguïtés propres au genre ne trouvant guère
    d'écho dans la tradition littéraire anglaise. Ainsi des nouvelles de Thomas de Quincey,
    qui s'inscrivent plus nettement dans la tradition du roman gothique que dans
    celle du fantastique.
    L'Irlandais Sheridan Le Fanu est l'auteur de Carmilla (1871), un roman gothique
    dont l'originalité réside dans le personnage de la femme vampire homosexuelle.
    Il a inspiré le célèbre Dracula
    de son compatriote Bram
    Stoker
    (1897), chef-d'œuvre incontesté des histoires de vampires.
    Oscar Wilde écrit
    également l'un des plus célèbres romans fantastiques anglo-saxons, Le
    Portrait de Dorian Gray
    (1891), dans lequel le personnage principal voit
    son portrait vieillir et prendre chaque marque de ses vices, tandis que lui
    possède la jeunesse éternelle et se livre à tous les excès. Wilde développe dans
    ce texte sa réflexion sur l'esthétisme et met en scène le conflit entre les
    déchéances physique et morale. La sensualité et l'homosexualité parcourent
    également l'ouvrage en filigrane. Dépassant largement le cadre du fantastique,
    ce roman a exercé une forte influence sur la littérature française, en
    particulier sur les écrivains décadents[10]. Par ailleurs, Oscar Wilde a écrit une
    parodie d'histoire de fantômes, Le Fantôme de Canterville
    (1887).
    D'autres écrivains de grande renommée ont signé quelques textes fantastiques,
    que ce soit Robert Louis Stevenson (Markheim,
    Olalla) ou bien Rudyard Kipling.
    L'écrivain anglo-américain Henry James a régulièrement abordé le fantastique
    au cours de sa carrière littéraire, et plus précisément les histoires de
    fantômes[11]. Le
    plus abouti de ses textes est Le Tour d'écrou (1898), une
    référence dans l'art de l'hésitation entre explication rationnelle et
    irrationnelle. Le style allusif de James amène le lecteur à douter de chacun des
    protagonistes tour à tour, de sorte que la vérité ultime sur cette histoire
    n'est pas révélée à la fin du récit ; ce choix est laissé au lecteur. Ce livre
    est aussi remarquable pour le caractère fantomatique de ses personnages[12].
    Cette période vit aussi la naissance de nouveaux genres de littérature
    populaire : le roman
    policier
    avec Wilkie
    Collins
    , la science-fiction avec H. G. Wells et Mary Shelley. Bien plus tard, c'est encore en
    Angleterre que naîtra le genre Fantasy, avec Bilbo le Hobbit de J. R. R. Tolkien
    (1937).
    Le fantastique
    américain [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-Edgar_Allan_Poe_2 la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Edgar
    Poe




    A sa naissance au début du XIXe siècle,
    la littérature américaine est
    fortement marquée par le roman gothique anglais et le fantastique. Nathaniel
    Hawthorne
    , puis Washington Irving et surtout Edgar Allan Poe
    imposent aussi la nouvelle et le conte comme formes d'expression privilégiées.
    Poe joue aussi un rôle particulier en élaborant une théorie esthétique
    personnelle. Enfin, il fait aussi partie des pionniers de la science-fiction et du roman policier.
    Washington
    Irving
    , l'un des premiers grands écrivains américains, a écrit de nombreux
    contes qui se rapprochent plus de la légende que du récit surnaturel à
    proprement parler. Il se caractérise par son réalisme, ainsi que par le ton
    ironique qu'il emploie. Son recueil le plus connu est le Sketch Book
    (1819), qui contient le conte Rip Van Winckle, l'une des deux premières
    œuvres fantastiques américaines vraiment originales, avec Peter Rugh, le
    disparu
    de William Austin (1824)[13].
    Nathaniel
    Hawthorne
    a rédigé quelques textes faisant appel au surnaturel[14]. Ils
    sont marqués par l'oppression dans une Amérique puritaine, et ont pour thème
    récurrent la malédiction, en référence aux légendes de sorcellerie.
    Quoique le fantastique occupe peu de place dans son œuvre abondante, Francis
    Marion Crawford
    est l'auteur d'un recueil de grande qualité dans le genre,
    Wandering Ghosts[15] (1891).
    Tout en s'inspirant de cette tradition, H. P. Lovecraft lui donne un tour particulier,
    plus proche de l'horreur. Lovecraft inspirera de
    nombreux auteurs au XXe siècle,
    notamment Stephen
    King
    .
    Le fantastique russe
    [modifier]



    Les récits
    populaires [modifier]



    C'est Alexandre Pouchkine qui introduisit le
    genre fantastique en Russie avec le célèbre conte la Dame de pique (1834). À partir de cette
    date le fantastique devint un genre de prédilection de la littérature russe,
    trouvant ses thèmes dans les contes et légendes populaires. Apparaît alors un
    fantastique proche du merveilleux, dans des œuvres telles que La famille du
    Vourdalak
    d'Alexis Konstantinovitch
    Tolstoï
    , L'effroyable vengeance de Nicolas Gogol ou encore Le pré Béjine d'Ivan Tourgueniev.la nouvelle fantastique Gogol3 la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Nicolas
    Gogol




    Le réalisme
    fantastique [modifier]



    La littérature fantastique russe va vraiment trouver une unité et un
    caractère propre dans des œuvres réalistes marquées par une inquiétude profonde,
    faisant preuve d'une plus grande sincérité que les bijoux littéraires issus de
    la « mode » du fantastique, en France notamment[16]. C'est le cas du Manteau de Gogol
    et de L'aigle blanc de Nikolaï Leskov. On retrouvera ce réalisme
    bien plus tard dans le roman de Andreï Biély, Petersbourg, et
    dans Un démon de petite envergure de Fédor Sologoub.
    Le grotesque [modifier]


    Encouragé par Pouchkine, Nicolas Gogol publie des contes fantastiques dont
    les plus célèbres sont le Nez et le Journal d'un fou, publiées
    dans le recueil des nouvelles de Pétersbourg. Ces
    récits introduisent un changement de nature assez profond par rapport à la
    tradition fantastique. La peur y joue un rôle négligeable ; en revanche
    l'absurde et le grotesque deviennent un élément essentiel. Ce style nouveau fera
    des émules en Russie même : Le Double, un des premiers romans de Dostoïevski, est directement inspiré de
    l'œuvre de Gogol.
    Le fantastique
    de langue allemande des années 1890-1930 [modifier]


    la nouvelle fantastique Meyrinklogo la nouvelle fantastique Magnify-clip

    Gustav
    Meyrink




    Le début du XXe est marqué par l'essor
    dans les pays germanophones d'un fantastique sombre et pessimiste. Les oeuvres
    qui paraissent durant cette période deviennent des sources d'inspiration du cinéma
    expressionniste
    qui se développe alors en Allemagne.
    Gustav Meyrink est
    l'un des plus grands écrivains fantastiques de cette période. Grand amateur de
    sciences occultes, il distille dans ses romans des thèses occultistes dans le
    but d'initier ses lecteurs. Son roman le plus célèbre, Le Golem (1915),
    est placé sous le signe de la Kabbale. Il peint le tableau d'une humanité
    dégradée et misérable dans le quartier juif de Prague. Son autre roman
    fantastique majeur est La Nuit de Walpurgis (1917).
    Il a pour thème la violence et la folie collective, et fait écho à la boucherie
    de la Première Guerre Mondiale.
    Plus controversé, Hanns Heinz Ewers est l'auteur d'une œuvre
    abondante qui, si elle lorgne plus souvent sur l'étrange que sur le fantastique,
    reste largement dans le domaine du surnaturel. Avec un penchant prononcé pour le
    macabre, le sang, et un érotisme malsain, ses ouvrages se veulent provocateurs
    et ont souvent été jugés immoraux. Ewers est surtout connu pour son roman Mandragore. Il est l'auteur d'un
    autre roman significatif, L'Apprenti-sorcier (1909) , ainsi que de
    nombreuses nouvelles, dont la plus connue est L'Araignée (1907).
    L'écrivain et dessinateur autrichien Alfred Kubin a publié en 1909 un unique roman
    fantastique, L'Autre Côté, où l'on retrouve
    l'atmosphère cauchemardesque de ses dessins. Ce roman, dans lequel le rêve et la
    réalité forment un écheveau inextricable, est considéré par Peter Assman, le
    principal biographe de Kubin, comme « un pas essentiel pour le développement de
    la littérature fantastique européenne »[17].
    D'autres œuvres fantastiques importantes sont écrites durant cette période,
    notamment Le marquis de Bolibar de Leo Perutz et Le baron
    Bagge
    d'Alexander Lernet-Holenia. C'est
    également à cette époque que Franz Kafka rédige La métamorphose, que l'on considère
    parfois comme une nouvelle fantastique.
    Jorge Luis Borges [modifier]


    Entre 1920 et 1960, la ville de Buenos Aires est le centre d'une intense activité
    littéraire et culturelle. C'est aussi un lieu de refuge pendant les années de
    guerre pour des écrivains européens liés à la littérature fantastique tels que
    Witold
    Gombrowicz
    et Roger
    Caillois
    . En 1931 se créé la revue Sur (Le Sud) sous la
    direction de Victoria
    Ocampo
    . Parmi ses collaborateurs se trouvent Jorge Luis Borges, Adolfo Bioy
    Casares
    , et Silvina
    Ocampo
    , sœur de Victoria et épouse de Bioy Casares.
    Cette revue devient le lieu d'un nouveau regard sur la littérature
    fantastique, porté par l'érudition et le goût du pastiche. Borges déclare ainsi
    que « l'érudition est la forme moderne du
    fantastique ». Ce fantastique que l'on pourrait qualifier de post-moderne cherche ses thèmes aussi bien dans
    l'histoire littéraire que dans la philosophie et la théologie, tout en
    conservant un caractère angoissant ou effrayant. De nouveaux thèmes sont
    explorés : les voyages à travers le temps, les mondes parallèles, les vies
    parallèles...
    Aspects du
    fantastique [modifier]


    la nouvelle fantastique 180px-Hieronymus_Bosch_040 la nouvelle fantastique Magnify-clip
    Détail de L'Enfer de Jérôme Bosch



    La peur [modifier]


    La lecture de textes fantastiques provoque souvent mais non nécessairement –
    un sentiment de peur ou d'angoisse. Sigmund Freud explique ce sentiment par l'inquiétante
    étrangeté
    propre à la littérature fantastique. Le terme allemand utilisé
    par Freud est unheimlich qui signifie « non-familier » mais aussi
    « non-caché ». Ainsi, le propre du fantastique serait de révéler des choses
    habituellement cachées, des choses que nous ne voulons pas voir : le sang, les
    cadavres, la nuit, les ruines.
    Le Mal [modifier]


    Les manifestations du surnaturel dans la littérature fantastique sont
    généralement néfastes : pas de place pour les anges, les bonnes fées ou les bons
    génies. Le fantastique fait la part belle au Mal et à ses incarnations. C'est aussi une littérature de
    la souffrance, de la folie, de l'échec. En ce sens, elle marque une rupture
    profonde avec l'optimisme du siècle des Lumières. Cet aspect trouvera un écho au
    XXe siècle
    chez les surréalistes.
    La sexualité [modifier]

    la nouvelle fantastique 180px-John_Henry_Fuseli_-_The_Nightmare la nouvelle fantastique Magnify-clip
    Le Cauchemar, Johann Heinrich
    Füssli
    .



    La psychanalyse
    interprète volontiers le genre fantastique comme l'expression de désirs sexuels
    inavouables. Il est relativement facile en effet d'associer à chacun des
    thèmes du fantastique une forme de sexualité anormale : ainsi, la sorcellerie
    équivaut à la nymphomanie, le vampirisme au sado-masochisme etc.[réf. nécessaire]
    Toutefois cet aspect concerne plutôt le surnaturel en général que le fantastique. De plus,
    comme tous les symboles, les thèmes du fantastique peuvent recevoir des
    interprétations différentes suivant le contexte. Ainsi le symbole du Double peut
    signifier l'isolement d'un individu qui n'a plus de contact avec le monde
    extérieur.
    Par ailleurs la sexualité intervient explicitement et non plus symboliquement
    dans de nombreux récits fantastiques. Un désir amoureux très violent est souvent
    la cause qui amène le héros à basculer dans un univers fantastique (par exemple
    la Chevelure de Maupassant ou encore le diable amoureux).
    La
    littérature fantastique et la censure [modifier]



    Le fantastique a souvent été utilisé par des auteurs pour contourner la
    censure. Les romantiques allemands ont ainsi pu glisser des critiques politiques
    sous les dehors de la fiction. Parfois le simple fait d'adopter le genre
    fantastique vaut revendication de l'autonomie de la littérature contre ceux qui
    veulent l'asservir : ainsi des auteurs russes dissidents à l'époque du réalisme
    socialiste.
    De même, on tolérera plus facilement des idées choquantes si elles sont
    présentées comme l'œuvre de la folie ou du Diable : scènes scabreuses du
    fantastique fin de siècle français, phobie raciste et misanthrope chez H. P. Lovecraft,
    etc.
    Le
    fantastique en tant que littérature de l'interprétation [modifier]



    Le texte fantastique est par nature ambigu et demande à être interprété
    correctement. Les auteurs ont donc souvent recours à des techniques narratives
    qui conditionnent le lecteur. Les textes courts (contes et nouvelles) qui
    permettent de maintenir la tension dramatique sont privilégiés. Il est souvent
    fait appel à un narrateur, parfois redoublé d'un second narrateur qui introduit
    le récit et le met à distance.
    Le lecteur du texte fantastique se retrouve face à un choix paradoxal : soit
    il fait confiance au narrateur et accepte la version « surnaturelle », et alors
    le texte devient évidemment une fiction ; soit il préfère une explication
    « rationnelle » qui ramène le texte dans le champ du réalisme, mais alors il
    doit mettre en doute la crédibilité du narrateur.
    On peut aussi envisager le fantastique comme l'interprétation littérale de
    figures métaphoriques. Ainsi le cloporte de la Métamorphose de Kafka est
    à la fois une métaphore de l'individu insignifiant et un véritable insecte. Le
    fantastique amène donc à s'interroger sur ce qu'est un texte littéraire et sur
    son rapport à la réalité. Dans At Swim-Two-Birds par exemple, Flann
    O'Brien imagine ainsi un auteur aux prises avec ses personnages qui refusent de
    lui obéir, un thème que développera également Marcel Aymé.
    Voir aussi [modifier]


    Notes et
    références [modifier]




    1. Voir le chapitre Nodier et Balzac : une
      première synthèse
      , p. 58, in Jean-Baptiste Baronian, Panorama de la
      littérature fantastique de langue française
      , éditions de La Table Ronde,
      2007.
    2. Voir la bibliographie
    3. Voir l'article sur E.T.A Hoffmann, ici.
    4. les nouvelles La main de gloire et Le
      Diable vert
      .
    5. Voir p. 111 de Jean-Baptiste Baronian,
      Panorama de la littérature fantastique de langue française
    6. Voir le chapitre symbolisme, allégorie et
      fantastique
      , p. 136, in Jean-Baptiste Baronian, Panorama de la
      littérature fantastique de langue française

    7. Ce recueil contient en particulier la nouvelle
      L'entrevue.
    8. Cf. p. 6 de Jean-Baptiste Baronian, Un
      fantastique de réaction
      , préface à l'anthologie La Belgique
      fantastique
      , éditions Marabout, 1975
    9. Cf. p. 7 de Jean-Baptiste Baronian, Un
      fantastique de réaction
      , préface à l'anthologie La Belgique
      fantastique
      , éditions Marabout, 1975,
    10. Cf. Jean-Baptiste Baronian, op. cit., p. 129.
    11. Cf. Jacques Finné, présentation de Henry James
      dans l'anthologie L'Amérique fantastique, éditions Marabout, 1973, p.
      173.
    12. Cf. Edmond Jaloux, préface au Tour
      d'écrou
      , collection Marabout Fantastique n°412.
    13. Cf. Jacques Finné, L'Amérique
      fantastique
      , p. 37.
    14. Ses récits fantastiques ont été rassemblés dans
      le recueil La vieille fille blanche et autres contes fantastiques aux
      éditions Marabout, 1973.
    15. Ce recueil a été publié en français sous le nom
      Car la vie est dans le sang, d'après le titre de l'une des meilleures
      nouvelles qu'il contient, aux éditions Neo.
    16. Cf. Jean-Pierre Bours, Ce que dit la bouche
      d'ombre
      , préface à l'anthologie La Russie fantastique, éditions
      Marabout, 1975.
    17. Peter Assman, Alfred Kubin 1877-1959,
      1995.


    Bibliographie [modifier]



    • Jean-Baptiste Baronian, Panorama de
      la littérature fantastique de langue française
      , Stock, 1978. la nouvelle fantastique 30px-Nuvola_apps_ksig_horizonta
    • Roger
      Bozzetto
      , L’Obscur objet d’un savoir, fantastique et science-fiction,
      deux littératures de l’imaginaire
      , Aix-Marseille, Université de Provence,
      1992;
    • Marcel Brion, Art
      fantastique
      , Albin Michel, 1989;
    • Roger Caillois,
      De la féérie à la science-fiction, préface à son Anthologie du
      fantastique
      , Gallimard, 1966;
    • Pierre-Georges Castex, Le conte
      fantastique en France. De Nodier à Maupassant
      , José Corti, 1962;
    • Daniel
      Fondanèche
      , « Fantastique » in Paralittératures, Vuibert, 2005;
    • Denis
      Labbé
      et Gilbert
      Millet
      , Le Fantastique, Belin, 2005;
    • Jad Hatem, La Genèse du
      monde fantastique en littérature
      , Hammana, Librairie Tarazi, 1980;
    • Jean Le Guennec :

      • Raison et déraison dans le récit fantastique, l’Harmattan, 2003;
      • États de l’inconscient dans le récit fantastique, l’Harmattan, 2002;


    • Eric
      Lysøe
      , Littératures fantastiques. Belgique, terre de l'étrange,
      Labor, 2003;

      • Les Kermesses de l'étrange, Nizet, 1993;
      • « Pour une théorie générale du fantastique », Colloquium Helveticum,
        n° 33, 2002 [2003], p. 37-66;
      • Préface et notes du Voyage à Visbecq, roman fantastique de 1794 écrit
        par un auteur anonyme belge, Anacharsis, 2007 [1];


    • Joël Malrieu, Le Fantastique, Hachette, Paris, 1992;
    • Max Milner, La
      Fantasmagorie, essai sur l’optique fantastique
      , PUF, Paris, 1982;
    • Mario Praz :

      • Le Pacte avec le serpent, 3 volumes, Christian Bourgois, 1989, 1990,
        1991;
      • La Chair, la Mort et le Diable : Le romantisme noir, Gallimard/Tel,
        1998;


    • Jean-Luc
      Steinmetz
      , La littérature fantastique, Presses Universitaires de
      France, 1960;
    • Tzvetan Todorov,
      Introduction à
      la littérature fantastique
      , Seuil, 1971;
    • Louis
      Vax
      :

      • La séduction de l'étrange. Etude sur la littérature fantastique,
        Presses Universitaires de France, 1964;
      • L'art et la littérature fantastique, Presses Universitaires de
        France, 1960.


    Catégories [modifier]



    Articles connexes [modifier]



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